L'argumentation sera la même qu'hier puisque la nouvelle rédaction reprend la quasi-totalité de la rédaction précédente. Il nous semblait important de ne pas réglementer outre mesure la circulation des personnes – il ne doit pas y avoir d'atteintes à la liberté d'aller et de venir –, mais on peut éventuellement accepter certaines modulations. Le sous-amendement n° 16 vise à rendre possible la réglementation de la circulation plutôt que son interdiction. Interdire reviendrait à proroger l'état d'urgence sanitaire, ce qui serait aberrant dans un projet de loi relatif à la gestion de la sortie de crise sanitaire.