Je l'ai partiellement défendu tout à l'heure en pensant qu'il allait tomber avec l'adoption de l'amendement n° 325 ; je veux bien en compléter la présentation.
Il vise à préciser que les indicateurs relatifs à l'égalité des chances entre les femmes et les hommes doivent prendre en compte, pour être des indicateurs globaux, l'évolution de cette égalité tout au long du parcours de formation. Il nous paraît utile de comparer l'évolution du ratio femmes-hommes entre l'entrée dans le parcours et l'obtention du diplôme sanctionnant la formation en question.