Il vise à exiger la publication des écarts de représentation parmi les cadres dirigeants et les membres des instances dirigeantes dans les entreprises de plus de 250 salariés, et non pas seulement dans celles de plus de 1 000 salariés. En revanche, l'instauration de quotas et les mesures de sanction ne pèseront que sur les seules entreprises de plus de 1 000 salariés.
Ces publications poursuivraient un double objectif : d'une part, inciter, sans contrainte financière, les entreprises à améliorer leur politique d'égalité professionnelle ; d'autre part, compléter nos bases de données.