Je suis l'analyse de Mme la rapporteure. Le sujet est très important : ce qui se mesure, c'est ce sur quoi on peut agir. En revanche, compte tenu des systèmes d'information dont nous parlons, opérer un tel basculement serait difficile, et les coûts associés seraient probablement démesurés au regard de ce que les banques pourraient faire de cet argent.
Le sujet doit être creusé pour trouver par exemple les moyens de resserrer le reporting sur les flux entrants et faire en sorte que les données soient matérialisées afin de continuer à progresser. Je propose de faire travailler les banques sur ce sujet, de même que la Banque de France afin d'améliorer la qualité du travail. Mais, pour l'heure, la proposition de Mme Parmentier-Lecocq, telle qu'elle est rédigée, nous paraît hors de portée par rapport à l'objectif.