Il en est d'autres que je tiens à citer : l'encadrement des enquêtes dans le temps, qui est particulièrement attendu par les victimes comme par les mis en cause ; la protection des avocats et du secret professionnel de la défense et du conseil ; le développement de l'assignation à résidence sous surveillance électronique ; la création d'un code pénitentiaire ou encore le renforcement de la déontologie et des procédures disciplinaires concernant les professionnels.
Après la loi de programmation et de réforme pour la justice, après l'augmentation inédite du budget de la justice de 8 % en 2021, après l'adoption de la proposition de loi présentée par Dimitri Houbron que je salue ici, et après les travaux menés par de nombreux autres collègues, ce projet de loi constitue une nouvelle contribution importante à l'effort mené depuis plusieurs années par la représentation nationale pour donner à la justice les moyens de ses ambitions et pour la rendre plus accessible et plus proche des citoyens.