Je veux rassurer Mme Ménard. Vous n'avez pas bien compris, ce ne sera pas la télévision qui fera son marché ! Vous dites que la télévision ira vers le juge vedette ou l'avocat vedette, mais ce n'est pas de cette manière que le système fonctionnera ! Vous l'avez dit tout à l'heure, l'autorisation sera proposée par la Chancellerie et validée par le chef de juridiction concerné. Voilà, n'ayez pas de crainte, madame Ménard ! Aucune crainte ! Défavorable.