Il s'agit de ramener d'un an à six mois le délai imparti au Gouvernement pour prendre l'ordonnance. Il faut aller vite compte tenu des grands événements sportifs qui vont être organisés sur le territoire national. Par ailleurs, il existe des incohérences dans le fonctionnement de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) au regard des standards internationaux promus par l'Agence mondiale antidopage (AMA), dans le cadre du code mondial antidopage.