Vous me répondez en actant un projet qui est en train d'être ficelé, que nous connaissons et qui, précisément, nous inquiète. Ce qui nous inquiète, c'est par exemple la suppression de la petite chirurgie nécessitant de la réanimation, et c'est aussi la diminution du nombre de lits. À l'aune de la crise qui vient de se dérouler, nous voudrions rouvrir le débat sur les services et le plateau technique qui devraient exister, alors que le projet semble entériné. Votre intervention, plutôt que d'apporter des réponses, est inquiétante.