Comme l'a dit le président Chassaigne, ainsi que d'autres sur ces bancs, l'article 24 bis sera nécessairement source de culpabilité. Il est évident que tous les sapeurs-pompiers méritent de bénéficier de jours pour se reposer. Ils donnent de leur temps, de leurs heures, au péril de leur vie, pour en sauver d'autres. Mais pourquoi reviendrait-il à leurs collègues, plutôt qu'à l'État, de leur donner des heures de repos ?