Monsieur le ministre, je vous avoue que, moi non plus, je n'ai pas compris votre argumentation. Prenons le cas d'une personne qui souhaite prendre l'avion. Peut-on imaginer pouvoir monter dans un avion en refusant une palpation ou un contrôle d'identité ? Non ! Parce qu'il y a eu de terribles attentats, quelqu'un qui veut prendre l'avion doit se soumettre à une palpation et à un contrôle de sécurité.
On coupe donc les cheveux en quatre ! Quelqu'un qui souhaite entrer dans une zone à risque, identifiée comme problématique, ne doit pas pouvoir refuser une palpation.