Aucun salarié français n'y est employé, alors que ce sont 25 000 emplois, dont 6 000 emplois directs, qui sont liés à l'aéroport de Bâle-Mulhouse. Les Français en sont les grands bénéficiaires. Si cet aéroport n'était pas dynamique, la France n'aurait rien, ni recettes fiscales, ni emplois, ni cotisations sociales. Si vous voulez vous en assurer, regardez le sort de l'aéroport de Strasbourg, dont le développement a été annihilé par celui des aéroports allemands voisins. C'est bien du régime fiscal appliqué aux aéroports que dépend leur développement.