J'ajoute que cela ne tiendra pas plus debout demain au vu de la manière dont évoluera le droit de la famille dans notre pays.
Vous nous dites aussi, le cœur sur la main, que ce nouveau droit accordé aux femmes seules et aux couples de femmes n'entraînera pas, demain, l'obligation de reconnaître la légalité de la GPA dans notre pays.