J'ai participé à l'ensemble des travaux de la commission spéciale, ce qui m'a donné l'occasion d'entendre certains de nos collègues défendre des amendements en boucle. Cela dit, je veux rassurer M. Ravier et ses amis : en prenant la parole, je n'ai aucunement l'ambition de servir les intérêts du candidat Macron – et je pense que personne ne l'a sur les bancs de la gauche.