Ces enfants ont une histoire, une vie : par conséquent, les études existent. Ne prétendez donc pas que l'on ne sait pas ce qui peut se passer ! Il en sera de ces inséminations comme des mariages posthumes : il n'y en aura pas cinquante par jour. Ce sont des histoires tristes que personne ne souhaite vivre, ni voir vivre parmi ses proches ; mais si quelqu'un se trouve dans ce cas, laissons-le décider ce qu'il souhaite – en l'occurrence, continuer ou non le projet entamé avec son conjoint.