Nous avions déposé des amendements similaires ; nous n'avons pas pris la parole pour les défendre, en raison du temps législatif programmé. Nous considérons que la rédaction actuelle de l'article 1er pourrait ouvrir la porte à l'eugénisme. C'est cela, le problème. Nous ne souhaitons pas aller dans ce sens et nous le rappelons ici : votre rédaction présente un risque. Vous n'avez pas réussi à nous convaincre du contraire.