Cela me semble grave.
Si votre souci est de permettre à toutes les femmes d'accéder à cette pratique, partout sur le territoire, y compris là où le service public fait défaut, sous-amendons les amendements en discussion en précisant que le recours aux centres privés n'est possible que là où il n'y a pas d'établissements publics, et en attendant que ceux-ci s'y installent.