Je remercie Mme la rapporteure pour sa réponse et lui confirme qu'il n'y a en effet aucune honte à avoir. Ce n'est pas le sujet et je ne crois d'ailleurs pas que mes propos aient pu donner ce sentiment. C'est donc pour cela que je propose d'assumer que l'enfant issu d'un don résulte d'un projet parental tel qu'il est défini dans la loi, et que sa conception est tout à fait dans l'ordre des choses. Pour le reste, le débat a déjà eu lieu et mes opinions sont connues.