Rien n'empêche aux parents de donner des informations à leur enfant sur ses origines. Au contraire, j'y suis favorable, c'est prévu dans le texte et nous ferons en sorte que ce soit le cas dans la pratique.
N'en déplaise à M. Breton, qui n'est pas là, je suis contre les secrets de famille, délétères pour les enfants. Le nouveau régime, la nouvelle philosophie que nous instaurons en matière d'accès aux origines permettront aux parents de parler de celles-ci à leur enfant avant sa majorité.
Mais c'est une chose de parler du mode de conception ; une autre de disposer de données…