Il faut être raisonnable : quand je suis arrivé à l'Assemblée, en 2007, les petites retraites étaient déjà une réalité.
Madame la ministre, je souhaiterais évoquer le cas des conjoints d'artisans et de commerçants et, plus largement, des indépendants. Avant la fin de la législature, j'aimerais qu'un travail rapide de la part du Gouvernement ou qu'une initiative parlementaire soutenue par l'exécutif nous permette d'avancer sur le sujet ; sincèrement, c'est important pour eux. Comme le dit Nicolas Turquois, à ce niveau de petites retraites, 100 ou 150 euros de plus, c'est énorme ; c'est malheureux, mais c'est ainsi. Quoi qu'il en soit, je salue les artisans de l'avancée qui nous est proposée.