Il est vrai que quelques erreurs de convocation avaient pu y être faites ; chaque année, des erreurs sont commises par les directions des examens et concours, mais le pourcentage de problèmes est largement inférieur à ce qu'il était au cours des années antérieures. Je pense même qu'aucun incident n'a été constaté dans votre académie, celle de Strasbourg ; je ne crois pas que c'est là qu'ont été constatés les dysfonctionnements que vous avez évoqués.
Des difficultés ont été relevées en Île-de-France et dans l'académie de Lille, c'est vrai. Nous travaillons actuellement pour les résoudre. En tout état de cause, elles n'empêcheront ni les élèves de passer l'examen ni les professeurs de faire leur travail. La situation s'est déjà améliorée par rapport à hier, et moins de 1 % des élèves sont concernés.
Si vous soulignez les problèmes, c'est peut-être pour masquer votre opposition au projet. Depuis le début, vous souhaitez qu'il ne se concrétise pas. Vous menez un combat d'arrière-garde – c'est votre choix. De mon côté, j'ai choisi l'avant-garde pour les élèves.