Nous allons à nouveau examiner ce texte, et voter une grande partie des dispositions qui ont résulté de nos débats en première lecture. Nous tenons en effet au prélèvement à la source, qui est symbole de justice, d'efficacité et surtout de réactivité, les impôts des Français s'adaptant à leurs revenus.
Nous tenons également à la division par deux des intérêts moratoires, qui passeront de 4,8 % à 2,4 %. Nous nous félicitons de la possibilité d'ajuster, dans trois ans, ce taux à la situation économique qui prévaudra alors, si le besoin s'en fait sentir. Nous veillerons d'ailleurs, monsieur le ministre, à ce que cette réduction de taux d'intérêt s'applique également aux URSSAF, mais nous avons compris récemment que cela relève du pouvoir réglementaire.