Cet amendement identique est proposé par les industriels de la charcuterie, qui, eux, ne se réfèrent pas au prix du porc vivant ou en carcasse, mais au prix des pièces. Il vise ainsi à tenir compte de tous les indicateurs pertinents auxquels les opérateurs économiques sont susceptibles de se référer pour la détermination de leur prix d'achat, aussi bien en amont – je répète qu'ils achètent des pièces et non un animal entier – qu'en aval. De plus, cet amendement permettrait de faire le lien avec l'article L. 443-4 du code du commerce.