L'adoption de cet amendement, que nous ne souhaitons pas, remettrait en cause le dispositif que nous avons précédemment voté, qui vise à imposer la facturation ligne à ligne.
Ceux qui promeuvent cet amendement défendent une forme d'opacité, puisque le système proposé est moins précis. La représentation nationale a compris le fonctionnement des centrales de services internationales et leur a envoyé un message clair en adoptant à l'unanimité les amendements n° 9 et identiques : nous exigeons qu'elles fassent preuve de clarté et de transparence. Pendant les travaux de la commission d'enquête, personne n'a dénoncé les pratiques des agriculteurs ou des industriels, seules celles des centrales ont été mises en cause. Si cet amendement était maintenu, les membres du groupe UDI et indépendants voteraient contre.