Leur seule différence avec l'amendement de Mme Bergé réside dans le fait qu'ils sont rédigés en français courant, alors qu'elle emploie les bons codes, ceux de la novlangue de Bercy. Or c'est bien la technostructure de Bercy qui sera chargée de faire appliquer cette mesure : c'est elle qu'il s'agit de convaincre. Par conséquent, je retire ces amendements au profit du n° 212.