J'en parle avec d'autant plus de conviction que je suis moi-même entrepreneur, et aussi avec une pointe d'émotion, car M. Bernard Dupuy, qui m'a tout appris de mon métier, était cet après-midi à l'Assemblée nationale.
Monsieur le ministre, les entreprises françaises, déjà accablées de charges administratives diverses et toujours plus nombreuses, se seraient bien passées de cette nouvelle servitude fiscale, aussi complexe que chronophage.