C'est même l'inverse : il fait partie des organisations syndicales qui se sont exprimées en faveur de la nouvelle formule de contrôle continu que j'ai proposée. En plus de mélanger les sujets, vous dites donc quelque chose qui est totalement inexact. Il existe des gens – et des organisations syndicales – qui sont de grands partisans du contrôle continu, parce qu'ils savent que cette formule permet de faire travailler les élèves toute l'année. Certains étaient contre les épreuves communes que nous envisageons de supprimer, précisément parce qu'elles donnaient lieu, selon eux, à un bachotage que vous réprouvez, probablement à juste titre. Enfin, ils savent qu'il faut maintenir 60 % de contrôle terminal, ce qui garantit en effet le caractère national de l'examen.