Il y a évidemment une pression ! Vous pouvez la nier, dire qu'elle n'existe pas : c'est votre droit. Pour l'avoir vécu, je vous affirme qu'elle est bien réelle !
Ne votez pas l'amendement, mais vous verrez que vous y viendrez un jour, monsieur le rapporteur général ! La pression sera telle que nous serons obligés de légiférer. Ce jour-là, vous aurez peut-être – peut-être !– l'humilité de reconnaître que vous vous étiez trompé lors de l'examen de ce texte.