C'est une question délicate car on peut se demander si l'usage de l'adjectif « surérogatoire » dans la loi n'est pas contraire au principe de laïcité. Nous avons longuement débattu, en première lecture, de l'origine de ce mot, qui s'applique à la sixième prière musulmane de la journée, non obligatoire. Je suis curieux de savoir quelle est la position du Gouvernement.