Et s'il est difficile à évaluer, ce phénomène interroge sur l'administration de traitements hormonaux aux mineurs et sur les conséquences dramatiques que ceux-ci peuvent avoir sur leur vie d'adulte. Il serait préférable, pour préserver ces enfants et pour leur permettre de mûrir leur choix, de faire preuve de prudence et de n'autoriser les traitements hormonaux qu'à partir du jour de leur majorité.