Mes chers collègues, seize ans après la loi du 11 février 2005, la politique en faveur du handicap mérite mieux que des faux débats comme celui de juin dernier, lorsque vous brandissiez tout et n'importe quoi pour rejeter l'individualisation de l'allocation aux adultes handicapés – souvenez-vous, l'argument de probables problèmes liés aux logiciels informatiques de la CAF dans le calcul de l'allocation avait même été avancé.