Or c'est ce que vous imposez aux femmes et aux hommes en situation de handicap.
Au-delà de questions d'abattement, de mesures fiscales ou de montant de l'AAH, c'est une question de principe. Lorsqu'on fait de la politique et que l'on agit pour nos concitoyens, on doit avoir en tête le principe d'égalité autant que les considérations techniques. Rien ne peut justifier ni le sabotage de ce texte ni votre entêtement sur la conjugalisation de l'allocation adulte handicapé.