Je ne savais pas que vous prendriez vous-même la parole sur le sujet par lequel je commencerai, madame la présidente. Monsieur le rapporteur, vous ne vous étonnerez pas que la première des trois remarques que je compte faire vous soit destinée. En tant que députée, je ne puis aller à l'encontre des lois adoptées dans cet hémicycle ; or, en 1998, nos prédécesseurs se sont prononcés en faveur de la féminisation des titres. Il y a donc des choses que je ne peux accepter et des comportements que je ne supporte pas.