Monsieur Aubert, je vous ai félicité tout à l'heure sur le fait d'avoir ouvert le débat, parce que nous avons besoin de discuter de la politique énergétique de notre pays. Mme la ministre nous affirme que nous aurons ces discussions, mais nous savons bien qu'elles ne donnent jamais lieu à des débats approfondis et qu'elles ne nous permettent pas de définir collectivement des règles, ce qui pose problème.
Je vous ai félicité, disais-je, mais j'ai entendu la remarque que vous avez faite à ma collègue Caroline Fiat : vous auriez sans doute préféré vivre au XIX