Il vise à donner aux régions un droit de veto sur l'installation d'éoliennes supplémentaires, dans le cas où le rapport entre la puissance éolienne terrestre installée par kilomètre carré et le potentiel éolien moyen serait plus de deux fois supérieur à celui d'une autre région – ce dont nous nous approchons dans les Hauts-de-France. Il s'agit de conférer à l'échelon régional un rôle supplémentaire dans la gestion du parc éolien, conformément au principe de subsidiarité.