Je ne vois pas vraiment ce qu'il y a d'indigne à chiffrer le coût des amendements. Je pense au contraire que c'est au cœur de la fonction de rapporteur général.
Venons-en à votre amendement. Le plafond a déjà été doublé, vous en convenez. Il est important que cela reste exceptionnel, précisément pour être en phase avec la crise économique. Qui dit fin du « quoi qu'il en coûte » dit aussi retour à une fiscalité et à des incitations plus classiques, comme c'était le cas ces dernières années. J'émets donc un avis défavorable.