Il faut vraiment être Bercy pour y parvenir, et je souhaite donc que Bercy puisse s'en charger. Un bon impôt est d'abord un impôt juste. Il n'y a aucune raison de prélever un impôt sur un revenu qu'on n'a pas perçu et qu'on n'a aucune chance de percevoir. Ce raisonnement est assez simple. Je sais bien que vous ne voulez pas toujours entrer dans ce type de simplicité, je peux le comprendre, mais à un moment donné, il faut envoyer ce type de signal, sans quoi le consentement à l'impôt risque de se réduire fortement.