Vous proposez de revenir à la logique de suramortissement qui a pu être suivie dans le passé, mais tel n'est pas notre choix : nous avons préféré, au cœur de la crise, opter pour des aides directes. Les exploitants des remontées mécaniques, dans les zones que vous évoquez, ont ainsi été largement aidés pendant toute la durée de la crise, vous l'avez vous-même reconnu. Il en est de même au moment de la relance : les aides à l'investissement et le plan que vous avez mentionné montrent que l'accompagnement de l'État est effectif.
Faut-il y ajouter un dispositif de suramortissement ? Je ne le pense pas, même si je reconnais que c'est un outil qui fonctionne bien. Pour encourager à l'investissement et faciliter le redémarrage de l'activité, nous disposons déjà du plan de relance et des aides. Je vous propose d'en rester là. Avis défavorable.