J'ai du mal à comprendre la position du rapporteur général et du ministre délégué. Que demandons-nous – en lien avec le Conseil national des barreaux, le CNB ? Nous voulons nous caler sur la doctrine administrative. Je suis donc quelque peu étonné que l'un et l'autre nous répondiez par la négative du fait que les acteurs ne sont pas tous d'accord – n'est-ce pas normal, en démocratie, de ne pas être d'accord ? Reste que la position très majoritaire – puisque, j'y insiste, c'est le CNB qui nous en a saisis – est claire : calons-nous sur la pratique administrative et non sur la jurisprudence du Conseil d'État.