Je serai plus modéré que nos collègues communistes, puisque je propose non de refuser le CIR aux entreprises qui suppriment des emplois, mais d'infliger à celles-ci une pénalité.
Monsieur le rapporteur général, vous y êtes allé très fort en nous disant qu'il ne fallait pas bloquer le marché de l'emploi. Un marché où l'État subventionne les emplois n'a plus la liberté absolue du marché non faussé. Je vois mal comment vous parviendrez à nous expliquer que le CIR finance des emplois, mais que, si une entreprise ainsi financée supprime ces derniers, il est normal qu'elle continue à bénéficier du CIR. Bonne chance pour le démontrer !