Monsieur le rapporteur général, j'entends votre propos, mais pensons aussi à la communication auprès des chefs d'entreprise, au temps nécessaire au Gouvernement pour diffuser l'information. Peut-être ces amendements auraient-ils dû porter la durée du crédit d'impôt à deux ans ; en tout cas, une seule année, c'est trop court pour rendre le dispositif pleinement efficace. Je suis convaincue que lors de l'examen du prochain PLF – projet de loi de finances –, vous nous refuserez la prolongation du dispositif au prétexte qu'il n'a pas été utilisé !