Monsieur le rapporteur général, s'il s'agissait d'un investissement, vous auriez raison : en la matière, un délai limité précipite souvent la décision. Mais ici, il s'agit de formations, ce qui implique des délais de réponse de la part des organismes spécialisés. Quand nos collaborateurs, dans les collectivités ou ailleurs, solliciten une formation, ils ne l'obtiennent pas du jour au lendemain ! Prévoir un an pour une formation, c'est vraiment trop court ; deux ans, comme le proposait notre collègue, cela paraît raisonnable.