Vous comprendrez que je ne partage pas du tout cet avis : la notion même de précarité énergétique signifie qu'il existe à notre époque des Français qui ne peuvent pas se chauffer et des habitations qui sont des passoires thermiques. Pour y remédier, nous ne demandions pas d'argent supplémentaire, mais seulement l'affectation à l'ANAH de crédits déjà prévus. Je maintiens donc l'amendement, dont l'adoption, encore une fois, servirait nos ambitions énergétiques.