Je soutiens également cet amendement dans la mesure où les cultures intermédiaires sont une pratique agricole vertueuse pour les sols, pour l'eau, pour la biodiversité, ainsi que pour l'agronomie. Par définition, elles n'entrent pas en concurrence avec la production de denrées alimentaires issues de cultures principales.
Toutefois, il est nécessaire, en cohérence avec la définition européenne, de clarifier l'éligibilité de ces cultures au pourcentage national cible d'incorporation d'énergie renouvelable de 1 %.