J'attends encore qu'un député me dise : « Chez moi, il y a trop de médecins, mettez-en dans la Mayenne ! » J'ai été élu dans la circonscription de Grenoble, qui héberge un centre hospitalier universitaire et je peux vous dire que l'Isère manque de médecins ; en périphérie de Grenoble, on manque de médecins.
Monsieur le député, retroussons-nous les manches, soyons solidaires ! Nous allons trouver des solutions dès à présent pour les Français et, bientôt, la fin du numerus clausus permettra à des milliers de jeunes médecins de réinvestir les campagnes qu'ils ont désertées faute de combattants !