Cela nous pend au nez puisqu'une nouvelle vague menace les pays européens ; la Lettonie et le Royaume-Uni constatent ainsi une forte reprise épidémique. Quelque 700 000 personnes étaient testées chaque jour avant la fin de la gratuité, elles ne sont plus que 400 000 une semaine après.
Face à ce constat, dans l'intérêt de la France et des plus pauvres, il est urgent de remettre en cause cette mauvaise décision et d'agir avec responsabilité. Allez-vous le faire, monsieur le ministre ?
La situation est pire encore en outre-mer, où le taux de pauvreté est plus élevé que dans l'Hexagone et le taux de vaccination plus bas. Vous décidez pourtant d'y mettre fin à la gratuité du test, en le facturant plus cher qu'ici. Sachant que les plus pauvres sont les plus éloignés du système de santé, vous condamnez de nombreux malheureux.