Nous demandons d'abord la possibilité de prolonger l'état transitoire que constitue l'état de sortie de l'état d'urgence sanitaire – je le rappelle, nous ne sommes pas en état d'urgence sanitaire, sauf dans les territoires ultramarins – et celle d'actionner des leviers si la situation sanitaire devait l'exiger, comme nous sommes en train de le faire avec des jauges, avec des règles relatives au port du masque, des mesures dont nous savons d'ores et déjà avoir besoin jusqu'à l'été prochain. Il est inutile de se poser la même question dans trois mois : à la mi-janvier, le virus n'aura pas disparu de la France ni de la planète…