Quelques semaines plus tard, où en sommes-nous ? J'étais présent – Philippe Gosselin s'en souvient – lors du fameux « dimanche de l'impossible » où chacun, en responsabilité, a fait un pas vers l'autre pour que le Gouvernement ait les moyens de travailler et de protéger nos concitoyens. Je n'oublie pas les 120 000 morts, ni le personnel soignant qui a été envoyé au feu.