Que cette surcotisation qui avait été établie en 1993 pour dix ans et aurait donc dû disparaître en 2003 soit enfin supprimée n'est que justice. Nous sommes plusieurs à déposer des amendements en ce sens depuis quelques PLFSS et nous sommes heureux que cette décision soit prise, nous l'espérons, à l'unanimité – car comme vous l'avez rappelé, monsieur le rapporteur général, les pompiers sont sur le front depuis le début de la crise sanitaire et en toutes circonstances, comme encore hier dans les villes qui, à l'instar de la mienne, ont subi une grosse tempête. C'est aussi une manière de les saluer.