La télémédecine va en effet contribuer à simplifier le parcours du patient et à améliorer son confort ; elle sera également bénéfique pour les professionnels de santé dans la mesure où le suivi pourra être assuré par toute une équipe, ce qui permettra aussi d'éviter des hospitalisations.
Vous avez évoqué le suivi, monsieur le ministre, en soulignant que le mot « surveillance » n'était pas très beau. Je reviens sur ce point, même s'il relève du domaine réglementaire, car il me semblerait intéressant, pour éviter de s'égarer, de parler de télésuivi plutôt que de télésurveillance. C'est ce qu'estiment également l'ensemble des intervenants des tables rondes auxquelles j'ai participé ou que j'ai organisées. Il s'agit d'un point réglementaire mais je sais que vous y serez sensible, monsieur le ministre. Dans la mesure où la pratique va entrer dans le droit commun et qu'on en parlera de plus en plus souvent, autant employer directement le terme de télésuivi.