Nous saluons la forme associative que prendra le COJO, ainsi que les divers niveaux de contrôle, à la fois financiers, budgétaires et éthiques qui s'exerceront sur ses activités. Cela semble apporter des garanties sérieuses quant à la transparence de la gouvernance des Jeux. Outre les obligations déclaratives qui sont faites à ses dirigeants, il est néanmoins essentiel de rappeler, en préambule, que ces derniers « exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité » et qu'ils doivent mettre fin d'eux-mêmes à d'éventuels conflits d'intérêts.
Nous estimons que les dispositions visant les députés peuvent tout à fait s'appliquer aux membres du COJO, et que la loi doit le spécifier.